Amanda était très inquiète par rapport à son cas
Source : bbci
Depuis sa jeunesse, Amanda Munaretti Selbach, illustre femme d’affaires de 39 ans, avait remarqué que la prise de médicaments contenant de la dipyrone lui occasionnait des picotements et des démangeaisons. Dans un premier temps, elle attribua ces désagréments aux effets secondaires du traitement. Cependant, avec le temps, les symptômes s’aggravèrent de façon alarmante. Ses yeux et sa bouche gonflaient à chaque prise et, bientôt, elle rencontra de réelles difficultés respiratoires.
C’est à la suite de ces évolutions inquiétantes que cette femme d’affaires décida de consulter un médecin. Lors des tests d’allergie, on découvrit que cette patiente avait une allergie marquée aux anti-inflammatoires non stéroïdiens. Les médecins lui prescrivirent alors des antibiotiques et des corticoïdes, susceptibles d’éviter toute réaction allergique.
Cependant, malgré ces précautions, Amanda eut sa première grande frayeur liée à ses allergies en 2011, lors de la césarienne de son premier enfant. Malgré ses mises en garde sur ses antécédents médicaux, elle se vit prescrire un anti-inflammatoire pour contrer les inflammations post-opératoires. Cette prescription médicamenteuse lui causa une crise allergique très grave qui aurait pu lui coûter la vie, si les médecins n’avaient pas utilisé l’adrénaline pour neutraliser l’effet du médicament.
Un an plus tard, lors de la naissance de son deuxième enfant, Amanda informa de nouveau les médecins de ses allergies, mais cela ne l’empêcha pas de subir un œdème de la glotte, une réaction allergique très sévère qui empêche la respiration et nécessite une intervention d’urgence. Cette expérience traumatisante la poussa à chercher une solution pour mieux communiquer ses allergies aux médecins.
