Mariam Nabatanzi : L’hyperfertilité
Sources : africatopsuccess
Si de nombreux examens permettent aujourd’hui de déterminer le degré de fertilité chez les femmes, la notion d’hyperfertilité reste pourtant sans fondement médical.
Mariam Nabatanzi est une Ougandaise qui incarne l’un des meilleurs exemples de l’hyperfertilité. Mais si dans certaines cultures ougandaises le statut de la femme et l’estime de soi-même reposent sur sa fertilité, le cas de Mariam est exceptionnel. Le parfait exemple d’une épouse incroyable !
Le taux de fécondité est élevé en Ouganda, avec une moyenne de 6 enfants par foyer, néanmoins la performance de Mariam prête à sourire. Elle souffre de l’hyperfertilité, une capacité à tomber enceinte très rapidement, malgré l’utilisation de moyens contraceptifs. A l’âge de 39 ans, elle est déjà mère de 44 enfants. Oui , 44!
Une épouse incroyable : La plus fertile du monde
Le Daily Mirror l’a qualifié de la femme la plus fertile du monde. Mariam n’a pas eu un parcours facile, loin de là. Dans son interview accordée à l’agence Reuters, elle se confie sur son parcours de vie douloureux. Elle affirme n’avoir jamais été heureuse depuis sa naissance.
Alors qu’elle n’avait que 12 ans, elle a été mariée de force à un homme de 40 ans. Un an plus tard, elle donnait naissance à son premier enfant. Entre-temps, elle a eu 3 fois des quadruplés, quatre fois des triplés et 6 fois des jumeaux. Et tous ont le même père. Père qui a d’ailleurs finalement décidé de les quitter et d’abandonner Mariam.
Aujourd’hui, en plus de s’occuper de ses nombreuses progénitures, Mariam multiplie les petits emplois pour gagner assez d’argent pour les nourrir.
Les plus grands enfants ont également abandonné l’école pour répondre aux besoins de la famille. Car Mariam doit tout gérer toute seule. Souhaitons un bon courage à Mariam et une fin de vie meilleure qu’elle n’a commencé!
Harnaam Kaur
Sources : monvanityideal
Harnaam Kaur, une jeune Anglaise atteinte du syndrome des ovaires polykystiques, un déséquilibre hormonal qui s’accompagne d’une pilosité importante, notamment au niveau du visage. Harnaam Kaur n’avait que 11 ans lorsque des longs poils ont commencé à pousser sur son visage, son torse, ses jambes et ses bras.
Après de nombreuses années difficiles marquées par des harcèlements et des pensées suicidaires, contre toute attente, elle a décidé de s’accepter telle qu’elle est. Grâce à une prise de conscience salutaire, sa barbe est au contraire devenue une source de force et confiance.
Une femme à barbe
Elle est devenue une femme à barbe et elle est baptisée Sikh. Au-delà de nos différences en termes d’apparence physique et de culture, le terreau est fertile pour faire croître une collaboration autour des valeurs partagées de dignité humaine.
Ainsi à l’âge de 24 ans la dame à barbe, a déjà beaucoup de choses à apprendre à son prochain sur l’amour de soi, son pouvoir personnel et sa définition de ce qui il est. Sa robe de mariée accentue la visibilité de son message et en renforce la portée.
Harnaam Kaur suscite une large admiration sur les réseaux sociaux, où on l’appelle l’épouse incroyable avec un look spécial.
Charlotte Guttenberg
Sources : thesun
Qu’il soit discret ou qu’il couvre toute une partie du corps, le tatouage est devenu tendance et revêt une dimension plus esthétique. Les amateurs de décorations corporelles sont alors de plus en plus nombreux.
Dans des cas exceptionnels, aussi incroyables que cela puisse paraitre, les tatoués poussent leur transmutation corporelle jusqu’à l’extrême, en allant jusqu’à marquer la quasi-intégralité de leur corps à l’encre indélébile.
Le couple le plus encré
La meilleure illustration en est le cas d’un couple américain où l’amour rime avec tatouage : Charlotte Guttenberg et Chuck Helmke forment le couple le plus encré au monde dans la catégorie senior.
Il n’est pas surprenant que les deux tourtereaux se soient rencontrés dans un salon de tatouage. Les motifs et le nombre de tatouages qui décorent leurs peaux leur a valu une mention dans le livre Guinness des records.
La dame âgée de 67 ans, l’épouse incroyable, a le corps recouvert à 91,5% de tatouages. Quant à son compagnon, il a des dessins sur 93,75% de sa surface corporelle. Et tant que le tatouage n’habille pas encore leur corps comme une seconde peau, leur projet continue.