Giuliano Stroe : Biographie
Source : Facebook
Giuliano Stroe est né le 18 juin 2004, dans la petite commune de « Piove di Sacco », située dans le nord de l’Italie. Son père, Lulian Stroe est un ancien gymnaste originaire de Roumanie, dont il a d’ailleurs transmis la nationalité à son jeune fils.
Mais ce n’était pas la le seul héritage que ce vieux sportif allait léguer à son jeune rejeton, car Lulian Stroe voyait en son fils, l’occasion de réaliser les rêves de gloire et d’argent qu’il n’a jamais pu réaliser par lui-même !
Cet ancien athlète de haut niveau, n’avait malheureusement jamais pu aller jusqu’au bout de sa destinée, qu’il avait espéré grandiose. Non pas qu’il manquait de talent ou de compétences, mais son parcours sportif n’avait pas pu l’emmener vers les étoiles tout simplement, comme c’est le cas d’ailleurs de bon nombre de grands sportifs oubliés.
L’espoir d’un père
Lulian Stroe voyait donc ainsi dans la naissance de son fils, une opportunité d’atteindre la consécration tant espérée. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne comptait pas la rater.
Le petit Giuliano grandira pour ainsi dire, dans l’obsession de son père, qui voulait faire de lui le champion qu’il n’est jamais pu devenir lui-même, et qui allait s’y prendre par tous les moyens pour arriver à son but.
Le jeune garçon sera donc très tôt initié au sport par Lulian, et les séances d’entrainement commencèrent alors qu’il n’était âgé que de deux ans à peine. Pas plus haut que trois pommes, le petit Giuliano sera amené ainsi à effectuer des exercices extrêmement éprouvants de musculation et de fitness, qui chaque jour se durcissaient un petit peu plus que la veille.
Que les entrainements abdominaux commencent !
Le petit garçon commencera donc sous la supervision zélée de son paternel, à effectuer des exercices de musculation au poids du corps. Le programme est alors reparti entre des pompes et des entrainements d’abdominaux et de souplesse.
Mais à mesure que l’enfant grandissait, et que son corps devenait de plus en plus robuste, les séances d’entrainement devenaient elles aussi de plus en plus intensives et excessives.
Le petit Giuliano réussira néanmoins à s’adapter à cette charge supplémentaire, et bien que l’entrainement qui lui est imposé par son père soit extrêmement rude, il supporte tant bien que mal cette cadence quasiment infernale.