Des chercheurs découvrent l’identité de Jack l’Éventreur
Source : historyofyesterday
Une surprise à laquelle même les personnes les plus optimistes du monde ne s’attendaient pas, car elle est considérée comme un « événement historique » dans tous les sens du terme. Il s’agit bien du fait qu’un certain nombre de chercheurs ont finalement pu révéler l’identité du plus célèbre criminel dans le monde entier, le tueur en série britannique « Jack l’Éventreur ». Ce criminel dont l’identité est restée un mystère pendant plus de 130 ans.
De nouvelles preuves qui mènent à Aaron Kosminski
Selon les ressources, des experts ont révélé de nouvelles preuves qui mettront fin à la polémique sur l’éventuelle identité de célèbre tueur en série. Notamment, ils ont pu prouver qu’il s’agit bien d’un barbier qui vivait à cette époque, appelé « Aaron Kosminski ». Et qui avait 23 ans au moment des meurtres qui ont eu lieu à partir de 1888.
Selon ce qui a été rapporté, le barbier « Kosminski » était auparavant le principal suspect dans les différents crimes de « Jack l’éventreur » pour le département d’enquête qui a mené la recherche sur le tueur à l’époque. Sauf que les enquêteurs étaient incapables de trouver des preuves réelles et suffisantes pour le condamner pour ses crimes.
La situation est maintenant devenue complètement différente après que les preuves à l’appui de l’ADN ont été révélées.
En effet, les experts ont pu analyser un châle d’une victime qui contenait du sang et du sperme. Il s’agit de Mme Catherine Eddowes, la quatrième victime de Jack l’Éventreur.
L’analyse a pu confirmer le lien de cet ADN avec les descendants vivants de Kosminski à l’heure actuelle. Et a pu indiqué également que le célèbre tueur se caractérise par des cheveux et des yeux bruns.
Kosminski était un immigrant polonais, qui a fui le harcèlement et la persécution des dirigeants russes de Pologne, et est venu avec sa famille en Angleterre en 1881. Il est mort en 1919, interné dans un asile.
On estime que « Jack l’éventreur » avait tué plus de 11 femmes et filles. Et que cette vague sanglante de tueries a duré du 3 avril 1888 au 13 février 1891.
