Le mystérieux rocher d’or
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Voici un lieu de culte aussi beau que la légende qui l’entoure : le Rocher d’Or. Situé à 1200 mètres d’altitude, dans l’État Môn, en Birmanie, ce rocher qui attire tous les pèlerins bouddhistes est une merveille unique au monde à bien des égards.
D’abord, l’emplacement de cette masse dorée fascine. En effet, au sommet du rocher de granit revêtu de feuilles d’or qui lui sert de socle, elle paraît en équilibre instable et comme sur le point de chuter. Le Rocher d’Or se trouve sur un plan incliné, et la zone de contact qu’il maintient avec le soubassement granitique est très petite !
Le mystère du rocher
Cette stabilité précaire a donné lieu à des légendes admirables, quoique littéralement tirées par les cheveux. En effet, la tradition affirme que le Rocher d’Or est en équilibre grâce à une mèche des cheveux de Bouddha .Et on l’a posé à cette place par deux esprits vénérables il y a 2500 ans.
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Plus précisément, Bouddha aurait transmis une poignée de cheveux à un ermite, qui à son tour les a remis au roi, en formulant le vœu qu’ils soient enchâssés dans un rocher doré en forme de tête d’ermite.
C’est le roi surpuissant qui a exaucé ce souhait, aidé par une autre déité de la cosmologie bouddhiste. Et les deux ont trouvé l’endroit parfait, puis érigé cette pagode fabuleuse.
Durant les mois de pèlerinage, une atmosphère de dévotion règne dans ce sanctuaire où les hommes et femmes viennent se livrer à la médiation et faire des offrandes au milieu des bougies allumées, après avoir franchi un pont qui domine un précipice.
L’étrange grosse boule bleue
Source : metmuseum
Voici un objet sphérique de 5 centimètres de diamètre, très curieux, qui éveille bien des interrogations chez les archéologues. Cette figurine creuse représente un hérisson enroulé sur lui-même, en position défensive. Et dont la tête, les pattes et la queue sont représentées en relief.
Quant aux trous qui parsèment cette boule bleuâtre, ils représentent les piquants de l’animal. A cause de leur alignement parfait, on suppose que ces trous ont été opérés simultanément par un seul outil. Par ailleurs, une légère fissure le long de la circonférence suggère que cet ouvrage a été composé en deux moitiés réunies.
La créature solaire
Mais d’où vient cette étonnante relique, qui est exposée aujourd’hui au Metropolitan Museum Art ? Et pourquoi un hérisson ? Sur ce dernier point, la réponse semble apportée par la symbolique de la civilisation égyptienne.
Source : thehistoryblog
En effet, le hérisson symbolisait le disque solaire, et par conséquent, il était divinisé. Quand le hérisson se met en boule, ses épines représentent les rayons du soleil. De plus, étant capable de voir et de chasser la nuit, il est la créature solaire par excellence.
On peut donc déduire que cet objet sphérique est une figuration du soleil, malgré ses teintes froides. Il n’en demeure pas moins que ce hérisson pétrifié continue d’exciter la curiosité des amateurs d’histoire et d’archéologie.
Une découverte que personne ne peut expliquer : dessins des anciens extraterrestres
Source : thegypsythread
Le désert Tassili n’Ajjer, situé au sud-est de l’Algérie, à la lisière de la Libye, recèle d’innombrables trésors archéologiques. En effet, cet espace inhospitalier regorge de peintures rupestres incroyables, découvertes il y a un siècle.
Deux explorateurs français, Charles Brennans et Henri Lhote, ont décidé d’étudier et d’interpréter ces milliers de peintures pratiquées à même la roche, et qui représentent des rivières, de la végétation, des hommes et des femmes, des girafes, des autruches, des éléphants, des alligators, des hippopotames et des bœufs, et d’autres animaux.
La découverte étonnante des dessins étranges
L’élément le plus étrange, ou le plus mystérieux si vous préférez, ce sont des dessins d’humanoïdes apparemment vêtus de combinaisons, munis de casques et de gants, et qui rappellent les astronautes.
Lhote (l’un des explorateurs) a publié un livre après ses découvertes, et il a formé l’hypothèse que ces êtres étranges étaient d’anciens extraterrestres, qui rendaient périodiquement visite à la civilisation. Mais les scientifiques n’ont pas vraiment donné crédit à cette thèse.
Source : thegypsythread
En effet, ils ont plutôt estimé qu’il s’agissait d’hommes vêtus d’habits rituels ou cérémoniels, en ne se privant pas d’ajouter que Lhote était un opportuniste et un mystificateur. Cependant, il n’était pas le seul à soutenir cette théorie insolite.
Par ailleurs, on peut s’étonner que l’ensemble de ces dessins représentent tout ce qui est opposé au désert ! C’est-à-dire les éléments d’un environnement tropical, plein d’eau et de vie.
Mais des recherches ont établi qu’à l’époque où ces peintures ont été faites, entre 12.000 et 4000 ans avant J.-C., cette partie du Sahara était au contraire une étendue prospère, remplie de végétation, de sources d’eau et d’êtres vivants de formes et de tailles les plus diverses.