Jackie Chan vs Jet Li : Une comparaison s’impose !
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C’est sûr, il est sacrément difficile de départager ces deux grandes stars du cinéma d’action, tant leurs personnalités sont divergentes. D’un côté, nous avons l’hilarant Jackie Chan, qui a bâti son personnage de clown acrobatique et attachant. Auquel le public a très rapidement accroché.
Et de l’autre, nous avons Jet Li, un guerrier mortellement sérieux qui trouve plus facile de casser le cou d’un homme que de sourire. En effet, loin des comédies potaches de Jackie Chan et de ses aventures rocambolesques. Jet Li cultive une part de mystère et d’obscurité qui le caractérise si bien.
Et lorsque Jackie Chan assomme ses adversaires avec ses chorégraphies de coups loufoques, Jet Li lui utilise des gestes précis et mortels, dont la beauté n’a d’égale que la maîtrise.
Chacun d’eux a ses propres techniques
En effet, il faut admettre que si les deux acteurs sont tous deux de grands pratiquants d’arts martiaux, il est évident de souligner que chacun possède ses propres techniques, ainsi que ses propres mouvements.
Tous deux ont ainsi suivi des parcours totalement divergents, bien que certaines similitudes puissent exister entre eux. Comme le fait qu’ils aient tous deux commencé leur entrainement, alors qu’ils n’étaient pas encore plus haut que trois pommes.
Les deux étaient strictement entraînés
Source : nautiljon
Jackie Chan est ainsi devenu le disciple du grand Maître Yu Jim-yuen, à l’âge de 7 ans à peine. Lorsque ses parents l’ont inscrit à la China Drama Academy, une école d’opéra de Pékin très prestigieuse et ultra sévère.
En vérité, l’accès à cette école était à ce point sélectif qu’il fallait carrément signer un contrat entre les parents d’élèves, stipulant que leurs rejetons pouvaient être rudement maltraités et pouvaient même succomber à la tache.
Jackie Chan vs Jet Li : Un entrainement trop dur pour les deux
En effet et dans l’optique d’atteindre un excellent niveau de perfection, le rythme imposé aux élèves était pratiquement infernal. Les étudiants devaient s’entraîner plus de 18 heures par jour, en commençant dés 5 heures du matin, pour ne finir que très tard la nuit.
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Une discipline quasi militaire et une exigence de fer leur était demandée. Et à la moindre erreur d’exécution ou de manquement à la discipline, la punition pouvait être si dure qu’elle pouvait pratiquement entrainer la mort de l’élève.
C’est donc ainsi, au sein d’un environnement qui privilégie un entrainement acharné et une discipline à toutes épreuves, que le petit Jackie allait vivre, pendant pratiquement toute une décennie.
