Gaspard et les fantômes
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Si je vous dis un chien froussard, une équipe de jeunes adolescents et des fantômes en tout genre, à quoi pensez-vous ? Certains d’entre vous répondront sans hésitation « Scooby-Doo», la série animée populaire qui date de 1969 par les studios Hanna-Barbera.
Mais peut-être que d’autres penseront plutôt à Gaspard et les fantômes. Cette série animée américano-australienne, produite par les mêmes studios dans les années 70, reprend à peu près le scénario de la première.
Une très grande ressemblance
En effet, Gaspard et les fantômes raconte les aventures de trois adolescents, qui parcourent le monde à la recherche de phénomènes étranges et surnaturels, accompagnés de leur chien Gaspard. À l’instar de Scooby–Doo, Gaspard est un chien froussard qui a peur des fantômes.
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Les seules différences notables entre les deux séries sont les suivantes : Gaspard et ses amis rencontrent des fantômes bien réels et non des personnes déguisées. Le chien devient invisible lorsqu’il a peur, et on ne voit plus que son collier et son bonnet.
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Et puis, on a réduit l’équipe à trois personnes. Contrairement à Scooby-Doo, qui compte un bon nombre d’épisodes et de spin-offs, Gaspard et les fantômes ne compte que 16 épisodes regroupés en une seule saison.
Certains diront même que Gaspard et les fantômes n’a pas vraiment eu autant de succès que Scooby-Doo, bien qu’elle s’en soit beaucoup inspirée, alors que d’autres pensent le contraire. Et vous ? Qu’en dîtes-vous ?
La série South Park, victime de plagiats de dessins animés
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Connaissez-vous la série South Park? Cette série animée américaine, destinée principalement à un public adulte, raconte les aventures de quatre écoliers à l’insulte facile qui vivent dans la ville fictive de South Park.
La série discute des sujets réels et traite quelquefois des questions pour le moins. Bien qu’elle soit controversée à cause de son caractère satirique, la série a rencontré un grand succès depuis le début de sa diffusion en 1997.
Un dessin animé très célèbre
South Park a même remporté un grand nombre de récompenses, dont cinq Emmy Awards s’il vous plaît. Ce doit être alors la popularité de cette série, qui en est aujourd’hui à sa 23ème saison.
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Et qui a certainement inspiré les Koweïtiens à reprendre certains des éléments clés de la série américaine pour créer Block 13.
Cette série animée koweïtienne, en 3 saisons pour 45 épisodes, a été diffusée pendant le mois de Ramadan durant trois années consécutives, de 2000 à 2002.
Pas plus loin du Koweït
Bien que le succès de cette série d’animation a été de taille au Koweït, sa renommée s’est cependant limitée aux frontières du pays.. En cause, sa grande ressemblance avec South Park.
Car s’il vous est déjà arrivé de regarder ces deux séries, vous aurez certainement remarqué qu’il existe de nombreuses similitudes entre les deux programmes.
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Aussi bien sur le plan graphique que sur le plan de l’intrigue. On y suit ainsi les aventures de 4 écoliers, particulièrement inspirés de leurs homologues américains..
La série, qui est doublée dans le dialecte local, traite de sujets liés à la culture et la société koweïtienne principalement, d’une manière assez comique.
Une copie effrontée de South Park
Et puis, comme dans South Park, les dessins sont faits de manière simple, en deux dimensions, avec les couleurs et les figures géométriques que l’on connaît.
En gros, certains n’ont pas hésité à critiquer la série animée koweïtienne qu’ils voient comme une copie effrontée de South Park, moins bien faite toutefois.
Block 13 destiné aux enfants…pas le cas pour South Park
Par ailleurs, certains défenseurs de Block 13 diront que celle-ci est plutôt une adaptation arabe de South Park, étant donné que la série américaine a été interdite de diffusion dans les pays du Moyen-Orient.
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Et contrairement à South Park, Block 13 est plutôt destinée aux enfants. En dehors de tout cela, les sujets qu’on a traité étaient considérés comme étant plus légers que ceux abordés dans South Park. Mais quand même, était-il nécessaire de copier l’univers graphique de la série animée américaine à ce point? Bref !
