Un poulet en or : A voir pour la première fois
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Que diriez-vous d’un fast food de luxe ? On vous l’accorde cela semble ne pas rimer correctement. On retrouve fréquemment le luxe dans les restaurants à plusieurs étoiles avec des chefs de grande renommée et des plats gastronomiques exquis mais dans un fast food, c’est plutôt des plats faits à la hâte.
Toutefois, à New York, dans un snack, du nom de « The Ainsworth », on a réussi à se distinguer avec une recette pour le moins originale. En effet, ce snack propose des ailes de poulet saupoudrées d’or 24 carats les plus chères et les plus délicieuses du monde.
Poulet croquant et irrésistible
Ce plat est préparé et cuisiné comme la plupart des ailes de poulet que l’on trouve ailleurs. Elles sont saumurées pendant une demi-journée, enrobées d’une marinade faite maison, puis cuites au four et frites. Ce n’est qu’à ce moment qu’on leur apporte ce croquant irrésistible.
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Cette touche finale qui n’est autre qu’une panure en or comestible. Néanmoins, contrairement à ce que vous pourriez penser, ce met doré, malgré son excentricité, est à un prix raisonnable.
En effet, les 10 ailes vous en coûteront 45 dollars, soit un peu moins de 40 euros. Enfin, sauf si vous vous offrez un festin de 50 ailes de poulet accompagnées d’une bouteille de champagne Ace of Spades. Dans ce cas-là, la note s’envole jusqu’à 1 000$.
Des instruments en glace
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Grâce à Tim Linhart, un artiste américain de 59 ans qui a eu un jour l’idée saugrenue de créer des instruments en glace, un grand igloo au cœur des alpes italiennes au nord du pays, dans la station de ski Passo Paradiso, à 2 600 mètres d’altitude, accueille les concerts d’un véritable orchestre de glace.
Des musiciens locaux viennent y participer, devant 200 personnes alors que la température est de – 12°C. Originaire du Colorado, Tim a déménagé en Laponie pour assouvir sa passion qui est de créer des instruments de musiques en sculptant de la glace.
Une chose incroyable qu’on n’a jamais vu
Il a déjà construit, en grande partie en eau gelée, un violon, un alto, un xylophone, une contrebasse. Egalement une mandoline, un violoncelle et un « Rolandophone », un instrument à percussion de son invention.
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Quand ce sculpteur a commencé à les réaliser, les instruments explosaient souvent mais, maintenant, cela se produit de moins en moins.
De même, en raison de leur poids et de leur fragilité, bon nombre d’eux sont suspendus à des mousquetons d’alpinisme reliés à des câbles d’acier fixés au plafond de l’igloo.
Aussi, pour embellir le spectacle, des lumières multicolores jaillissent des différents appareillages. Ainsi, couleurs et sons se mélangent pour un spectacle sublime et original.
Objets en bois sans clou, ni vis
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En terme de menuiserie, nos amis japonais nous enseignent une méthode appelée « Nejiri Arigata ». Cette pratique traditionnelle et ancestrale consiste à découper des planches de bois très précisément de manière à ce qu’elles s’imbriquent parfaitement entre elles, pour construire du mobilier ou des charpentes.
Ainsi, ce procédé ingénieux de grande précision ne demande ni de percer, ni de clouer. Cette technique d’assemblage du bois, en plus de permettre une finition très esthétique, permet d’obtenir une extrême solidité.
Des objets impressionnants à voir pour la première fois
En effet, son système d’encoches et de bois qui coulissent permet de souder les pièces ensemble pour qu’elles ne bougent plus. Créative et ludique, chaque pièce assemblée donne un résultat visuel très harmonieux au point de donner l’illusion de ne pas avoir de jointures.
Dans ce sens, cette technique est même utilisée dans la menuiserie architecturale, des maisons toutes entières peuvent être édifiées ainsi.
Du coup, avec ce qu’on appelle le « Brickawood », qui remplace les briques en béton, la construction d’une habitation est facilement et rapidement réalisée, tout en assurant performance et étanchéité. En plus, c’est moins coûteux et très écologique. Qu’en dites-vous ? N’est-ce pas super ?
Choses incroyables : une technique innovante pour soigner les brûlure
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Les découvertes scientifiques ne cesseront jamais de nous surprendre. D’ailleurs, les chercheurs dans différents domaines, notamment celui de la médecine et de la pharmacie, testent diverses matières naturelles pour en extraire les bienfaits et les utilités.
Dans ce sens, une équipe de médecins brésiliens ont mis au point une technique innovante pour soigner les brûlures. En effet, ils utilisent de la peau de poisson, plus exactement celle du tilapia, qu’ils appliquent, après stérilisation, sous forme de patchs, directement sur les lésions de peau consécutives à des brûlures de deuxième degré.
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Ainsi, l’épiderme de ce poisson très riche en collagène éviterait des souffrances aux malades et serait plus économique que pansements biologiques en peau de porc ou provenant de membranes amniotiques humaines, qui entourent le fœtus pendant la grossesse.
Et si les bandages classiques faits de gaze et de pommade hydratante doivent être changés tous les jours au prix de très grandes douleurs, la peau de cette espèce très consommée au Brésil peut rester en place plus longtemps.
Merveilleusement, elle permet aussi d’accélérer la cicatrisation de plusieurs jours et réduit les besoins en antalgiques procurant ainsi un effet apaisant et curatif en même temps.
