Un serval adopté par une famille de Manchester
Source : thesun
Les chats comptent parmi les animaux domestiques les plus répandus sur terre. Et c’est d’ailleurs, le deuxième animal le plus présent dans les foyers français. Un tel engouement pour les chats comme animaux de compagnie s’explique par le côté attendrissant, et déstressant de ces petites boules de poils.
En effet, il a été prouvé scientifiquement que la présence de chats dans un appartement permettrait aux êtres humains qui y vivent de se détendre. Et ça améliorerait sensiblement l’environnement émotionnel de la maison.
Un animal domestique exotique
Mais tous les chats ne sont pas faits pour ronronner sur nos genoux. Et certains gros matous n’ont certainement pas leur place dans un appartement, mais plutôt dans la savane africaine. Exactement comme ce serval adopté par une famille de Manchester, et qui porte le nom évocateur d’Anubis.
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Kelly et Seb Jones avaient ramené le serval alors qu’il n’était encore qu’une mignonne petite touffe de poil. Et ils l’avaient nourri et pris soin de lui, comme ils l’auraient fait pour un chat de maison.
Mais contrairement à son cousin domestique, ce félin est très vorace et doit s’empiffrer de viande plusieurs fois par jour. Sans oublier sa taille et son poids imposants. Les servals peuvent en effet atteindre 112 cm pour un bon 26 kg. Ce qui n’est pas bien commode pour un animal de compagnie.
Mais il faut dire qu’Anubis s’est finalement très bien adapté à sa nouvelle famille. Et il semble couler des jours heureux comme tous les gros matous gâtés par leurs propriétaires.
Le renard, un animal de compagnie inhabituel
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Il n’y a pas que le « Petit Prince » qui ait réussi à apprivoiser un renard. Car la jeune fille, que vous voyez dans cette séquence, a accompli un exploit encore plus remarquable.
La fillette s’est en effet carrément liée d’amitié avec un jeune fennec. C’est un renard du désert extrêmement farouche et au mode de vie nocturne.
Source : lemagdesanimaux
Communément appelé aussi le renard des sables, le fennec est en effet adapté aux rudes conditions du désert. Et sa domestication est problématique car l’animal sauvage en lui ne disparaît jamais complètement.
Mais le fennec que vous voyez dans la vidéo n’a rien d’un animal féroce ! Et comme vous pouvez le constater, il ressemble plus à un mignon petit Pokémon survolté. Et vu la manière avec laquelle il accueille sa jeune maîtresse. Donc, on ne peut que mesurer à quel point la relation qui les unit est profonde.
Des enfants vivent avec des pythons
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Si vous étiez un parent responsable, vous offririez plutôt un hamster ou un poisson rouge à vos enfants, au lieu d’un python ou d’un caïman, n’est-ce pas ? Mais visiblement, ce n’est pas le cas pour Eric LeBlanc. Ce papa américain de 43 ans n’hésite pas à laisser ses enfants jouer avec de tels animaux mortels.
En effet, après avoir perdu son magasin de reptiles suite à un incendie, Eric a décidé de recueillir toute sa ménagerie à la maison. Au mépris du danger que représentent pourtant ces animaux sauvages.
Il a ainsi ramené chez lui des dizaines de bêtes, essentiellement de gigantesques pythons et boas. Ainsi que des dragons de Komodo, à la morsure réputée mortelle à tous les coups.
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Mais ce bien inconscient papa, n’hésite pourtant pas à laisser ses enfants en bas âge jouer avec ces dangereux reptiles. Et comme il fallait s’y attendre, ces derniers ont été mordus à plusieurs reprises. Bien que rien de grave ne leur soit heureusement arrivé.
Les pythons et les boas constrictors ne sont pas venimeux. Ils possèdent néanmoins une force herculéenne capable de broyer les os et une gueule extensible, qui leur permet d’avaler en entier une proie de la taille d’une vache.
Heureusement, les serpents d’Eric LeBlanc sont bien plus dociles et plus placides que leurs congénères de la jungle. Et l’appétit de ces animaux de compagnie inhabituels n’est pas aussi gargantuesque.
Mais il n’en demeure pas moins que l’insouciance de ce papa est bien déplorable. Et qu’il ferait mieux d’offrir un chiot ou un chaton à ses enfants, au lieu de ces monstres de cauchemars.